L
Avis publié le 30/03/2020 suite à une expérience le 16/03/2020
Avis modéré par Opinion Assurances
AFER s'obstine à trouver des subterfuges pour ne pas payer ce qu'ils doivent.
Une demande de rachat total de mon contrat à la suite d'une perte d'emploi involontaire et arrivé en fin de droits (un des 5 cas qui permettent de faire un rachat total, sous forme de capital, d'un contrat article 83 du code des impôts) faite le 6 septembre 2019 (bientôt 7 mois), n'a toujours pas été réglée.
Après d'innombrables échanges, tant par courrier en RAR que par Emails (puisqu'on ne peut pas les joindre par téléphone), je reçois le 17 janvier 2020 un Email du service Satisfaction Adhérents (Insatisfaction adhérents devrait-on dire!), m'indiquant que j'avais trop tardé pour faire ma demande de rachat total, et qu'ils ne pouvaient y donner suite, sauf à accepter la liquidation de mon contrat sous forme de rente. Ils me précisent cependant que si j'obtiens la validation des services fiscaux, ils donneront suite à ma demande. Je prends rdv avec l'administration fiscale qui comprend la situation et me propose de faire une demande de rescrit pour obtenir un document juridique opposable.
Le 6 février 2020, dès que je reçois ce rescrit indiquant que je ne pourrai pas bénéficier des avantages fiscaux, mais qu’ils ne s’opposent pas au rachat, je l’envoie à AFER en leur demandant de procéder comme convenu, au rachat total de mon contrat. AFER fait alors mine de ne pas comprendre le courrier des services fiscaux, et me répondent par un Email le 14 février, que l’administration fiscale confirme que ma demande est trop tardive, et qu’ils ne peuvent donc pas procéder au rachat de mon contrat. Le 18 février 2020 je demande à l’inspectrice des impôts qui s’occupe de ma demande, de bien vouloir clarifier la position des services fiscaux en ce qui concerne ma demande de rachat. Ce qu’elle fait de manière officielle le 20 février, me répétant que je ne pourrai pas avoir d’exonération fiscale, mais que je pouvais demander le rachat. J’adresse immédiatement ce nouvel Email à AFER, et attends leur réponse. Devant l’absence totale de retour de la part d’AFER, je les relance le 26 mars 2020, obtient un accusé de réception du « Service Marketing » d’AFER aujourd’hui, 30 mars 2020, m’indiquant qu’ils transfèrent ma relance au service « Satisfaction Adhérents ». Ce service me répond 2 heures plus tard en me faisant un Email totalement identique à celui qu’ils m’ont fait le 14 février, en m’indiquant qu’ils ne peuvent pas procéder au rachat.
C’est le pot de terre contre le pot de fer ! Cet insupportable sentiment d’impuissance face à un mur.
A la vue du nombre de réclamation faites à l’encontre d’AFER et de ses comportements, je pense sincèrement que Chris à raison ; Seule une action de groupe permettra d’obtenir qu’AFER se conforme à la loi.
Pour ma part je ne lâcherai pas l’affaire (humour …), et irai jusqu’au bout.