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Avis publié le 28/01/2025 suite à une expérience le 13/01/2025
Avis modéré par Opinion Assurances
Famille avec enfants en bas âges, et femme enceinte, sans domicile fixe depuis bientôt 3 mois.
Sinistre: incendie dans un appartement voisin et l'odeur de suie a envahi notre salon/cuisine. Après beaucoup d'aération, l'odeur s'est améliorée mais toujours très présente. L'appartement incendié contient de l'amiante et du plomb. Generali a mandaté un expert, très cordial et poli par ailleurs, mais qui ne répond que très rarement aux messages, et considère (sans attendre les résultats d'amiante et de plomb dans l'appartement incendié) que notre appartement est habitable et est sans danger et pourtant on lui a transmis le certificat médical de principe de précaution des substances toxiques que l'appartement voisin pourrait dégager.
Finalement l'expert a décidé de ne pas statuer sur la question de relogement.
On a demandé à Generali un test de qualité de l'air dans notre appartement, ils ont refusé. On a demandé un relogement le temps que l'appartement voisin soit décontaminé (comme demandé par notre médecin), ils ont refusé.
Aujourd'hui, dans l'appartement incendié il y'a du passage (des experts qui rentrent et qui sortent), énormément de suie sur le sol, donc si elle contient du plomb, elle peut se propager dans les parties communes à chaque passage. Les enfants en montant les escaliers peuvent toucher le sol, ensuite mettre la main dans la bouche, et être exposés au saturnisme. L'odeur de la suie est présente chez nous, on n'a aucune idée sur la concentration de particules dans notre appartement.
Résultat: ma famille est victime d'un sinistre, bientôt 3 mois plus tard, l'appartement voisin n'est toujours pas décontaminé à cause de procédures très longues d'experts... et ma famille se retrouve délogée, parce que Generali n'a pas pris en compte le certificat médical et refuse de mesurer la qualité de l'air dans le salon/cuisine.
NB: on a aussi posé la question à un pédiatre, et il a confirmé => odeur de suie = pas de retour dans les lieux.
NB: nous sommes pas les seuls à ne pas avoir pu rentrer chez nous bientôt 2 mois après le sinistre.
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