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Avis publié le 07/02/2020 suite à une expérience le 07/02/2020
Avis modéré par Opinion Assurances
Bonjour,
Assuré Maif depuis 30 ans (RAQVAM & PRAXIS depuis qu'ils existent) , j'ai toujours été satisfait de mon assurance. Impacté à 2 ou 3 reprises par des dégâts des eaux ou récemment par un accident auto causé par un tiers, la MAIF a toujours été présente, attentive et réactive.
D'où ma stupéfaction lorsque suite à la rupture d'un tendon d'Achille lors d'un match de volley en loisir, l'assurance m'a annoncé qu'en absence d'éléments extérieurs responsables, elle ne prenait pas en compte ce type de blessure !
Après mon opération, j'ai recontacté l'assurance et j'ai expliqué que potentiellement des résidus de colle de ballon de hand-ball (photos et nombreux témoignages potentiels à l'appui) pouvaient être à l'origine d'un mauvais appui ayant éventuellement entraîné ma blessure, hypothèse plus que certitude. Rechercher les causes d'un accident n'est pas une priorité lorsque vous subissez ce type de blessure, c'est la raison pour laquelle aucune mention n'avait été faite lors de la déclaration initiale.
J'ai alors eu l'impression d'être soupçonné de malhonnêteté par mon interlocutrice alors que je souhaitais simplement savoir si cet élément me permettait de rentrer dans les restrictions de l'assurance.
Je souhaiterais donc savoir quand PRAXIS a exclu ce type de blessures de sa couverture ?
Il s'agira alors de communiquer massivement auprès des centaines de milliers de sociétaires sportifs afin de les inciter à reconsidérer avec beaucoup d'attention leur contrat.
L'assurance qui dit assurer "tous risques en rapport avec les activités de la vie privée, notamment sports et loisirs" et garantir les pertes de revenus, n'applique pas ces garanties aux affections musculaires, articulaires, tendineuses et discales.
La MAIF, ne peut pas se contenter de dire qu'elle assure les activités sportives mais doit impérativement indiquer "sous condition d'élément extérieur responsable".
Enseignant d'EPS depuis 30 ans, je ne savais pas que j'avais cette épée de Damoclès au dessus de la tête à chacune de mes démonstrations.