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Je suis cité dans un arrêté de catastrophe naturelle pour des dégâts à mon habitation et ma piscine suite à la sècheresse comme 46 autres maisons dans ma commune. Suite à l'expertise de la MAAF, mon dossier est rejeté. Je vois le jour et le soleil par une fissure de la façade, le trottoir s'est affaissé de 4 centimètres, les canalisations de la piscine sont écrasées et coupées (ce que l'expert à refusé de regarder), une marche de l'escalier est fendue, les placoplatres intérieurs d'isolation se déboitent mais l'expert estime que la sècheresse n'y est pour rien, alors que toutes les maisons sinistrées du quartier sont reconnues comme victimes de la sècheresse. Par contre pour la seule fissure en escalier constatée, l'expert décide qu'elle date de 2020 et devra faire l'objet d'une nouvelle demande d'arrêté l'année prochaine. Autrement dit, la MAAF m'impose de laisser encore un an l'eau de pluie pénétrer à l'intérieur de ma maison. Sinon on me propose de recommencer le processus qui m'amènera, au mieux, à entreprendre des travaux dans deux ans. L'expert est tellement fiable que dans son rapport, il appelle rez-de-chaussée ce qui se situe au premier étage et note un sous-sol alors que ma maison n'a pas de sous-sol. En outre, un cloisonnement pour rangement d'objets divers empilés dans mon garage est déclaré "pièce habitable". Est-ce de la part de la MAAF de l'incompétence ou une volonté de ne pas respecter les clauses d'un contrat mais il est évident que, outre le contentieux à engager, je décide de résilier les 7 contrats souscrits actuellement auprès de l'agence de Toulouse. Je signale en outre que j'ai attendu longtemps que l'agence m'informe du rapport d'expert ( en date du 27/11/2020), mais que cette information m'a été communiquée seulement après que les cotisations de l'année aient été prélevées (2047.49€ le 11/01/2021). Précaution ou administration déficiente ? La MAAF devrait même m'être reconnaissante puisque pour éviter un accident dans ma piscine où ne subsistait qu'un cloaque de 10 cm au fond, j'ai fait réparer l'ensemble à mes frais. Je considère que la MAAF s'occupe en priorité de ses propres intérêts et, à l'occasion de ses adhérents.