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Avis publié le 09/08/2020 suite à une expérience le 09/08/2020
Avis modéré par Opinion Assurances
Je suis sociétaire de la MAIF depuis 46 ans.
J'assure deux véhicules l'un ayant 4 ans d'ancienneté et l'autre ayant 10 ans (contrats VAM et PACS selon la dénomination de la MAIF) et un appartement en multirisque habitation (RAQVAM).
J'ai eu le malheur d'avoir un sinistre en responsabilité partagée sur ma voiture de 10 ans (un micro sinistre dont l'enjeu était de 960 € répartis entre moi et le tiers, ce dernier avait une voiture encore plus ancienne que la mienne).
Résultat, j'ai vu ma prime d'assurance bondir de + 24 % l'année suivante et mon bonus réduit de 0,50 à 0,54.
Un sociétaire avec 46 ans d'ancienneté « ne sera pas mieux traité en cas de sinistres : ceux-ci sont gérés de manière anonyme par des plateformes spécialisées » (lu sur un site spécialisé)
Je confirme que la fidélité n'est pas du tout récompensée par l'assureur.
A ma charge, je dois reconnaître que je ne me suis pas jamais occupé des contrats d'assurance. Je suis à la MAIF parce que ma femme est fonctionnaire. En épluchant les contrats MAIF, j'ai découvert que je payais d'avance environ 60 % de la cotisation de l'année 2021. C'est ubuesque !
Les assureurs prennent l'argent là où il est (comme dirait l'autre). Partant, les assurés doivent faire de même : ne pas rester plus de 7 ou 8 ans chez le même assureur et faire jouer la concurrence. Avec la loi dite Hamon, on peut résilier un contrat d'assurance à tout moment passé le délai d'un an ; le nouvel assureur se charge pour vous des démarches de résiliation.
Je paye 1.550 € par an avec trois contrats auto et MRH. A garanties équivalentes, je réduis la facture de pratiquement 50 %.
La particularité de la MAIF consiste à se gargariser avec des valeurs humanistes « d'assureur militant dit mutualiste »… alors que dans les faits la MAIF ne se distingue *absolument pas* des autres assureurs.
Je suis sociétaire de la MAIF depuis 46 ans.
J'assure deux véhicules l'un ayant 4 ans d'ancienneté et l'autre ayant 10 ans (contrats VAM et PACS selon la dénomination de la MAIF) et un appartement en multirisque habitation (MRH) (RAQVAM).
J'ai eu le malheur d'avoir un sinistre en responsabilité partagée avec ma voiture de 10 ans (un micro sinistre dont l'enjeu était de 960 € répartis entre moi et le tiers, ce dernier avait une voiture encore plus ancienne que la mienne).
Résultat, j'ai vu ma prime d'assurance bondir de + 24 % l'année suivante et mon bonus réduit de 0,50 à 0,54.
Un sociétaire avec 46 ans d'ancienneté « ne sera pas mieux traité en cas de sinistres : ceux-ci sont gérés de manière anonyme par des plateformes spécialisées » (lu sur un site spécialisé)
Je confirme que la fidélité n'est pas du tout récompensée par l'assureur.
A ma charge, je dois reconnaître que je ne me suis pas jamais occupé des contrats d'assurance. Je suis à la MAIF parce que ma femme est fonctionnaire. En épluchant les contrats MAIF, j'ai découvert que je payais d'avance en 2020 environ 60 % de la cotisation de l'année 2021. C'est ubuesque !
Les assureurs prennent l'argent là où il est (comme dirait l'autre). Partant, les assurés doivent faire de même : ne pas rester plus de 7 ou 8 ans chez le même assureur et faire jouer la concurrence. Avec la loi dite Hamon, on peut résilier un contrat d'assurance à tout moment passé le délai d'un an ; le nouvel assureur se charge pour vous des démarches de résiliation.
Je paye 1.550 € par an avec trois contrats auto et MRH. A garanties équivalentes, je réduis la facture de pratiquement 50 %.
La particularité de la MAIF consiste à se gargariser avec des valeurs humanistes « d'assureur militant dit mutualiste »… alors que dans les faits la MAIF ne se distingue *absolument pas* des autres assureurs.