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Les garanties souscrites semblent sécurisantes sur le contrat. Mais dès qu'il s'agit de couvrir un sinistre on nous objecte un élément qui permet à GMF de ne pas dédommager les dégâts. J'ai été amené à déclarer deux sinistres en vingt cinq ans. Le premier concernait une cheminée emportée par le vent sur une résidence secondaire. J'ai effectué la déclaration sur la base des éléments recueillis auprès du voisinage puisque je n'étais pas présent au moment des faits. Réponse de GMF : Météo France n'a pas signalé de vent violent la nuit des faits sur la région considérée. J'ignore ce que l'on appelle à proprement parler un vent violent chez Météo France et chez GMF. Ce vent là était assez puissant pour faire tomber ma cheminée, mais la terminologie de Météo France permet à GMF de ne pas prendre en charge les réparations. Le second sinistre concerne des dégâts sur une véranda en raison de mouvements de terrain. Alors que ma commune est reconnue en état de catastrophe naturelle pour l'année concernée, GMF mandate un expert qui fait son expertise par visiophone pour éviter de se déplacer jusque chez moi. Et selon cet expert les dégâts ne sont pas imputables à la sécheresse, mais à la chaleur. Aubaine pour GMF qui là encore classe le dossier. Finalement on souscrit un contrat d'assurance habitation parce que c'est obligatoire, que l'on paye sa vie durant, sans jamais pouvoir prétendre à une prise en charge quelconque puisque l'assureur sortira toujours un lapin du chapeau pour vous dire que le fait évoqué n'est pas garanti.